www.lescheminsdeferengagent.be). C'est 73% de plus que l'année passée pour la même période ! Le groupe SNCB recherche encore un bon millier de nouveaux employés, surtout pour les métiers techniques." />
Les nouvelles recrues 2013 travaillent principalement comme conducteurs (en formation), accompagnateurs de train et employés commerciaux à la SNCB et comme personnel technique et d'entretien de voie chez Infrabel.
On le sait, la pyramide des âges du personnel SNCB est à ce point négative que, d’ici 2020, la moitié du personnel sera admis à la retraite. D’ici 2020, pour assurer la continuité du service, le groupe devra engager en moyenne quelque 2000 personnes chaque année. Certes, la majorité seront des « jeunes », dans la catégorie des 20-30 ans, mais les plus de 40 ans sont aussi les bienvenus. Ils réussissent d’ailleurs particulièrement bien les tests de sélection.
La féminisation de l'entreprise, elle, se poursuit : 37% des nouvelles recrues 2013 sont des femmes, essentiellement dans les métiers d’accompagnateurs de train et de déléguées commerciales mais il ya aussi six nouvelles conductrices de trains et de locomotives !
Les besoins pour le reste de l’année concernent les professions suivantes : conducteurs de train, techniciens en électromécanique (principalement chez Infrabel), des agents de maintenance et des travailleurs pour la construction et l'entretien des voies et un grand nombre d’universitaires de différentes spécialisations, en ce compris de nombreux ingénieurs.
Avec plus de 500 recrutements en un trimestre, le Groupe SNCB respecte le calendrier prévu. Ce résultat a été atteint avant même que la campagne de recrutement ne déploie toute sa force de frappe au cours du mois de mars à la radio, à la télévision et au cinéma, sans compter les campagnes d’affichages et les sites internet. Le même engouement pour les emplois dans le Groupe SNCB est constaté dans les nombreuses foires et salons d’emploi auxquels la SNCB-Holding participe pour le Groupe. La pression ne diminuera pas pour maintenir la SNCB comme un employeur attrayant auprès des chercheurs d’emploi, qui plus est vu les nombreux profils recherchés qui figurent dans les métiers « en pénurie ».
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